Choisir le bon joint pour les vannes cryogéniques est essentiel pour garantir des performances fiables dans des environnements à températures extrêmement basses. Voici un guide détaillé pour vous aider à prendre une décision éclairée :

Facteurs clés à prendre en compte :

1 : Plage de température de fonctionnement

Les vannes cryogéniques fonctionnent généralement à des températures aussi basses que -196°C (-320°F) pour l'azote liquide ou même plus basses pour l'hélium liquide. Assurez-vous que le matériau du joint conserve son intégrité et sa flexibilité à ces températures.

2 : Compatibilité chimique

Le matériau du joint doit résister à la dégradation causée par les fluides tels que le gaz naturel liquéfié (GNL), l'oxygène, l'azote, l'hélium ou l'hydrogène.

3 : Type de joint

Choisissez entre des joints dynamiques (pour les pièces mobiles) et statiques en fonction de l'application. Les joints dynamiques nécessitent une flexibilité et une résistance à l’usure plus élevées.

4 : Pressions nominales

Les joints doivent supporter les pressions de fonctionnement tout en maintenant une étanchéité parfaite.

5 : Normes réglementaires et de sécurité

Assurez-vous que les joints répondent aux normes pertinentes telles que ISO, ASME ou aux certifications spécifiques pour le service d'oxygène.

6 : Emplacement du joint

Différents emplacements utiliseront différents modèles de joints.

Matériaux recommandés :

1 : PTFE (Polytétrafluoroéthylène)

Avantages : Excellente résistance chimique, faible frottement et stabilité aux températures cryogéniques.

Limitations : Faible élasticité, nécessitant anneaux d'appui ou conceptions spécifiques pour maintenir l'étanchéité

JST possède une riche expérience dans la conception de joints de vanne cryogéniques.

BV a été témoin de tout le processus de test.